domingo, 12 de junio de 2016

Les Styles de Tatouages




Traditionnel
Le terme désigne entre autres les tatouages japonais, les tribaux polynésiens et le tatouage américain des années 50. En gros, pour mériter ce titre, il faut que l'oeuvre soit conforme aux caractéristiques iconographiques et formelles (symbolisme et technique) de jadis. C'est pour ça que la plupart des œuvres que les gens qualifient de traditionnelles sont souvent en réalité néo-traditionnelles.




Old school
Old school désigne simplement le tatouage traditionnel américain des années cinquante. Ce mouvement est principalement caractérisé par les "flash", des pages avec des tonnes de dessins prêts-à-tatouer, que les clients choisissaient sur place et sans rendez-vous pour se faire tatouer immédiatement (à l'époque, les tatouages "custom" n'étaient pas la norme comme aujourd'hui). Parmis les figures de proue de ce mouvement on retrouve entre autres la fameuse panthère rampante, la dague et un paquet de symboles marins. Le mouvement old school est selon moi la preuve définitive qu'il y a une différence entre classique et cliché, l'un passant l'épreuve du temps haut la main, et l'autre finissant en chandail manche longue à longueur d'année.





New school
Trop souvent confondu à tort avec le néo-traditionnel. La plus simple différence entre les deux mouvements est que l'un est affilié au mouvement traditionnel américain, et l'autre pas pentoute. Le new-school utilise un style très "street", en prévalence dans la culture hip-hop, avec un style artistique qui s'approche souvent à celui des graffitis. Les images du new school sont déjantées, distordues et habituellement très colorées avec un aspect souvent très cartoon. La plupart des tatouages de lettrage font également partie de ce mouvement.





Néo-traditionnel
Contrairement au new school, ce genre se veut un rappel au mouvement old school américain en reprenant l’aspect visuel frappant et unique des tatouages de l'époque, mais cette fois-ci avec des sujets plus variés, une technique plus avancée et une pallete de couleur un peu plus étendue. Il emprunte au tatouage traditionnel des lignes contours épaisses, une dominance du rouge, du jaune et du noir, avec des images récurrentes comme les crânes, bannières, roses, symboles marins, dagues, serpents, panthères, etc. Le but du néo-traditionnel est de faire honneur à la tradition qui a remis le tatouage sur la map, tout en y rajoutant une touche contemporaine.





Postmoderne
Les tatouages post-modernes, a part d'être facilement observables sur le hipster urbain d’Amérique du nord, sont définis par un style se rapprochant plus de l'abstrait que les autres genre, avec une symbolique très présente. Le tatoueur postmoderne compose son oeuvre de la même façon qu'il créerait un tableau, avec une approche de composition qui aborde chaque tatouage comme une pièce centrale et distincte, contrairement aux autres genres qui ont souvent tendance à voir chaque tatouage comme une pièce de puzzle supplémentaire à un arrangement. Le mouvement postmoderne inclut aussi les tatouages "biomécaniques", qui sont une représentation plus-ou-moins abstraite du transhumanisme par la fusion entre l'homme, la machine et la bête.






Contemporain

Le terme contemporain englobe tout ce qui est de notre époque, d'influence récente. Quelque chose d'actuel qui ne tombe dans aucune autre catégorie atterrit automatiquement dans cette classification. C'est donc un terme un peu "placeholder" pour quand on a aucune idée de c'est quoi mais qu'on a quand-même envie d'avoir l'air de s'y connaître (et que j'en voie pas un me sortir ça si je mentionne un jour que quelque chose est contemporain!). Évidemment, on peut aussi dire par le fait-même que le post-moderne, new school et neo-traditionnel sont des genres contemporains.




Le Code d'Ethique


Definition :

Dans les principes suivants, est dénommé TATOUEUR celui – ou celle (tatoueuse) – dont la pratique de la dermographie artistique constitue l’activité principale, dans le respect des techniques et des critères d’usage acceptés par la profession. Il a choisi cette activité par passion, et non pour des raisons exclusivement lucratives. La dermographie est définie comme la technique qui permet de déposer des pigments dans la peau à une profondeur de 1 à 4 millimètres, en faisant pénétrer un groupe d’aiguilles plusieurs centaines de fois par minute.

Professionnalisme :
Chaque tatoueur est responsable de l’image de la profession toute entière. A ce titre, il se refuse à commettre tout acte ou toute parole de nature à discréditer les professionnels qui exercent le même métier. Il assure, dans la mesure du possible (compétence pour le motif demandé), un rôle de conseil auprès de ses clients et tâche de les réorienter, le cas échéant, vers un autre tatoueur. Dans tous les cas, il informe chaque client des risques et des précautions à prendre, ainsi que des règles élémentaires d’entretien du tatouage. Tout tatoueur répond aux éventuelles questions et/ou inquiétudes rencontrées pendant et après la cicatrisation du tatouage, et effectue sans frais supplémentaires les éventuelles retouches nécessaires. Éthique : Tout tatoueur se doit de refuser de tatouer (personnes et objets) : – un mineur, sans autorisation écrite de ses tuteurs légaux – toute personne manifestement sous l’emprise de drogues, alcool, ou autres psychotropes – toute personne… à la demande d’une autre (les candidats au tatouage sont volontaires) – un motif qu’il juge inesthétique – un motif qu’il estime ne pas pouvoir réaliser Principe de réserve : Tout tatoueur se réserve le droit de refuser de tatouer – toute personne présentant un risque en matière d’hygiène ou de santé – tout motif si son emplacement est de nature à porter atteinte à l’intégrité corporelle de l’être : notamment visage, mains, sexe… à l’appréciation du professionnel et dans le respect de la réglementation en vigueur.

Le tatouage au Cinema

Millénium, le film (2009)



Alabama Monroe (2012)



Memento (2000)



Crying Freeman (1995)



L'Homme tatoué (1969)



Tatouage (1966)







Documentaires sur les tatouages




Tout a savoir avant, après et pendant le tatouage



La veille

* N’abusez pas de l’alcool et d'autres produits plus ou moins licites ;


* Prévoyez une bonne nuit de sommeil ;… ce qui en découle : évitez de faire une grosse soirée la veille de votre séance.


* Évitez la prise de médicaments fluidifiant le sang (le plus connu = l’aspirine) ;


* Ne faites pas de gommage sur la zone à tatouer ce soir-là, au risque de trop sensibiliser votre peau.


A NOTER: Un corps fatigué supporte moins bien la douleur. La peau gonfle, saigne, rejette l’encre, avec pour conséquences des plus grosses croûtes et des pertes d’encre plus importantes. Et la séance peut aussi en être écourtée.


Le jour 


* Faites un bon petit déjeuner et/ou déjeuner afin d’éviter l’hypoglycémie ou toute autre baisse de forme ;


* Dans le même but, prévoyez quelques gourmandises et/ou boissons sucrées au cas où, pour pendant la séance ;


* Ne prenez toujours pas d’alcool, de médicaments fluidifiants, de cigarettes qui font rire, etc… ;


* Ne mettez pas de crème hydratante sur la zone à tatouer ce matin là ;


* Habillez-vous de manière pratique : du large à l’endroit de la zone tatouée, du "qui ne craint pas" au cas où quelques projections d’encre viendraient salir votre vêtement ;


* Arrivez en pleine forme (normal, vous avez bien dormi, pas bu et bien mangé !) ;


* Ne stressez pas, ce n’est pas l’examen du siècle, c’est juste du tatouage ;


* N’oubliez pas de prévoir de quoi payer votre tatoueur.

Pendant la séance

* Commencez par vous détendre, c’est le grand jour ! Pour cela, pas de recette miracle: certains préfèrent écouter de la musique, d'autres le silence, d'autres papoter avec le tatoueur si ça ne le dérange pas, d'autres encore discuter avec un accompagnateur si le tatoueur autorise sa présence, etc... ;


* N’hésitez pas à dire à votre tatoueur si vous ne vous sentez pas bien, si vous ne tenez vraiment plus, ou si vous avez besoin d'une pause ;


* Écoutez TOUS LES CONSEILS qu’il va vous donner pour la bonne cicatrisation du tatouage. N’hésitez pas à lui faire répéter si vous n’avez pas compris, pas tout imprimé à cause du stress, ou pas tout entendu à cause de bruits divers et variés (voire s’il n’a pas de fiche de soin à vous donner, à prendre des notes pour ne pas oublier le nom de la crème, la méthode, la durée des soins, etc… ).



Le soir

* Votre petit corps a subi une agression plus ou moins longue, il est donc normal que vous soyez fatigué… Évitez de prévoir une grosse soirée ou le rencard du siècle le soir même, vous risqueriez tout simplement de vous endormir sur place 


* Encore pendant 24 heures après la séance, évitez la prise de médicaments fluidifiant le sang et d’alcool à forte dose.* SUIVEZ LES CONSEILS DE VOTRE TATOUEUR sur le début des soins à effectuer, chacun a sa méthode (pansement ou pas, type de crème ou de savon, etc...). Vous avez eu confiance en lui pour le laisser vous marquer la peau A VIE? Ayez donc confiance en lui pour les soins qui vont avec 


* Lors de votre première douche, et PENDANT TOUTE LA CICATRISATION, ne "bourrinez" pas votre tatouage: faites mousser le savon dans votre main et nettoyez doucement votre tatouage. Évitez les gants de toilette et fleurs de douche, nids a microbes et susceptibles d'accrocher les futures croûtes du tatouage ;


* De la même manière PENDANT TOUTE LA CICATRISATION, séchez votre tatouage en tapotant doucement avec un sopalin ou une serviette PROPRE (dans l'idéal à changer a chaque douche, puisque comme les gants de toilette les serviettes se transforment en nid à microbe).

Le mois qui suit

* SUIVEZ LES CONSEILS DE VOTRE TATOUEUR pendant toute la durée de la cicatrisation de votre tatouage ;


* Ne touchez pas votre tatouage en dehors des soins, et effectuez ceux-ci avec les mains propres ;


* Il est possible qu'un hématome se forme sous la zone tatouée et légèrement autour, pas de panique, il se résorbera de lui même ;


* Le(s) premier(s) jour(s) le surplus d'encre dégorge, il est donc normal de retrouver quelques petites taches d'encre sur les draps par exemple (prévoyez donc votre literie/pyjama en conséquence) ;


* Il est normal d'avoir un peu mal (le lendemain, voire un peu plus), votre peau a subi un traumatisme. Si vous le souhaitez, vous pouvez prendre du paracétamol ou de l'ibuprofène ;


* Pendant ce mois, prévoyez des vêtements en coton car le synthétique peut irriter la peau tatouée;


* Au bout de quelques jours, votre tatouage va se mettre à peler et/ou à croûter, c'est normal, il cicatrise ;


* Il va aussi grattouiller, c'est normal, encore la cicatrisation qui opère ! SURTOUT, NE GRATTEZ pas! Rassurez vous: cela ne dure pas longtemps, et il existe quelques techniques pour apaiser les démangeaisons....


*Après avoir pelé, votre tatouage aura un aspect plus terne, c'est normal, votre peau se reconstruit (Et oui, toujours les joies de la cicatrisation !). Il obtiendra sa couleur "définitive" après environ 1 mois, voire un peu plus ;


* Afin d'avoir une bonne cicatrisation ne prenez pas de bain (piscine, mer, mais aussi baignoire) pendant 1 mois : votre tatouage ne doit pas macérer ;


* Votre tatouage doit être protégé du soleil PAR UN VÊTEMENT et non par de la crème solaire qui, d’une part peut irriter le nouveau tatouage, et d’autre part laisse quand même légèrement passer les rayons du soleil;


* Ne faites pas de gommage sur la zone tatouée pendant au moins un mois ;


* N'épilez pas la zone tatouée pendant au moins un mois, au risque de contracter une infection au niveau du bulbe arraché et/ou d'assecher votre peau ;


* Ne rasez pas la zone tatouée avant que celle-ci soit bien lisse (15 jours à 3 semaines), et dans les premiers temps soyez très délicat, ne forcez pas, au risque de blesser la peau tatouée TRÈS FRAGILE. 


A NOTER: si votre tatouage demande des retouches, il faudra après celles-ci recommencer la période de soin comme pour la première séance.




La Scarification



En quoi consiste-t-elle exactement? Contrairement au tatouage "traditionnel", où l'on injecte de l'encre, il s'agit ici d'un processus qui vise à créer des motifs sur la peau en ôtant les couches supérieures de l'épiderme.


Il en résulte la création volontaire de cicatrices qui à terme "dessinent" le motif voulu.


La scarification est une forme extrême et permanente de modification corporelle offerte dans plusieurs salons de tatouage et de perçage au travers le Canada. Ce procédé, par lequel la peau est brûlée, coupée, grattée ou étirée, gagne en popularité.


Blair McLean, l'artiste du New Tribe Tattoos and Piercings à Toronto, confirme que la scarification est souvent moins douloureuse que le tatouage. En fait, toutes les formes de scarification se font sur le même niveau cutané que le tatouage: sur le derme, bien au-dessus des tissus adipeux et musculaires.


Quelques pays interdisent cette pratique, dont le Royaume-Uni et plusieurs états américains. Récemment, l'Arkansas l'a bannie, mais une forte opposition populaire a fait renverser la décision. Le Manitoba l'a interdite en 2008.


Un porte-parole du ministère ontarien de la Santé note que cette pratique présente d'importants risques pour la santé. «Certaines modifications corporelles brisent de la peau intacte ou des muqueuses en la coupant, en la perçant et en la brûlant. Il y a donc une augmentation du risque de cicatrice, d'hémorragie et de traumatisme psychologique, ainsi que d'exposition et d'infection aux pathogènes transmissibles par le sang, comme l'hépatite B, C et le VIH», expose David Jensen.


Bien que la scarification tire ses origines de cultures tribales ancestrales, le mouvement de la modification corporelle dans les années 1980 a aussi ramené cette pratique, notamment au sein des fraternités, où les membres s'inscrivaient les initiales de leur maison sur le corps, en guise de symbole de fraternité éternelle.


Contrairement à cette tradition, la scarification est aujourd'hui devenue surtout esthétique, soutient M. McLean.


«Par le passé, les membres de fraternité ne se souciaient pas de l'apparence de leur cicatrice, c'était pour le symbole. Aujourd'hui, les raisons sont plus futiles.»




Afrique

En Afrique, le tatouage était pratiqué pour conjurer le mauvais sort, pour prevenir les maladies et pour différencier les classes sociales. Il avait un valeur décorative, rituelle et ils portent bonheur. C'est a l'aide d'une aiguille ou une d'une épine, d'un peu de noir de fumée recueilli que les meres marquaient leur visages de ses enfants. bien que cette practique était tres ancienne, L'slam condamné le tatouage, selon le Coran; rien ne doit modifier la création de Dieu, si vous avez de tatouages vous  êtes un allie de Satan. 

Malgré la protection religieuse, le tatouage va être répandu et pour lutter contre cet interdis, le tatouage sera réalise au henné. les femmes portaient des tatouages sur les mains au pieds des lignes, points et croix, en henné. Ce qui représentaient les chrétiens d'Egypte (Les Coptes) , pratiquaient le tatouage comme dévotion, les dessins étaient composées du figures chrétiennes, du christ, la vierge marie et des saintes illustres. les pèlerins se faisaient tatoué sur les bras le date de leur peregrinare au Jérusalem.  ils arboraient une croix sur la face interne du poignet que symbolisait leur religión. 

jueves, 2 de junio de 2016

Chine


Le tatouage en Chine est considérée comme une offense perpétrée sur le corps, le tatouage était une pratique méprisse. Dans l'histoire chinoise, le tatouage fut utilisé pour marquer les criminels, il figurait parmi les cinq punitions aux cotés de la mort, la castration, l'amputation de nez et des pieds. Le marquage corporel punitif était pratique au niveau du visage, suivi de l'exil vers une terre lointaine. Cette forme de punition était connu comme Pei ci, signifiant tatouage/exil.

En Chine, l'art du tatouage, appelé Ci Shen ou Wen Shen, un terme qui signifie percer les corps, remonté a plusieurs milieux d'années. Le tatouage faisait partie intégrante de coutumes de certaines ethnies établies dans le Sud de la Chine, et par des indigènes.


les tatouages pour la peuple Dai de Chine, fait partie d'une tradition tres ancienne, hommes et femmes étaient tatoués. Les femmes tatoauient généralement  leur deux mains et leur bras portaient un petit point tatoué entre les sourcils, le tatouage des femmes Dai symbolisait la beauté.
Les tatouages des hommes signifient de force, un signe de virilité et de bravoure. leur tatouages étaient souvent réalises a accentuer leur musculature, representé par un tigre ou dragon.

les tatouages faisaient partie de la culture du peuple Li de l'íle de Hainan. la plupart de les femmes étaient tatoués. les hommes portaient, a fin medicinal, trois anneaux circulaires bleus tatoués sur autour de leur poignets. le tatouage était consideré comme un rite de passage au statut d'adulte.
les jeunes femmes était tatoués vers l'age de 13-14 ans. Ils étaient tatoué sur la nuque, la gorge et le visage, un processus qui durée environ 4 jours. au cours de trois jours la femme était tatoué sur les bras et jambes, les mains étaient reserves pour les femmes mariées.

en 1960, au cours de la révolution culturelle, le président Mao Tsé-Toung associé les tatouages a des manifestations de l’impureté et la malhonnêteté, interdit le tatouage en Chine. Ces interdictions persistent aujourd'hui; les membres de l'armée ont interdiction d'avoir moindre le tatouage, aussi que certaines entreprises ont adopté des regles internes qui interdisent l'engagement de personnes tatoués. les autorités chinoises ont tendance avoir de préjuges négatifs aux personnes tatoués. 

lunes, 16 de mayo de 2016

Japon

Japon

L'art du tatouage au Japon porte de différents noms:

L'horimono, est le terme générale concernant les tatouages.
L'irezumi, concerne les tatouages traditionnels qui couvrent un large partie du corps, ces types de tatouages sont ouvres d'art qui coûtent une fortune et qui prennent plusieurs années a être finies.


L'irebuko, était un souvenir pour les amoureux. Les amoureux inscrivaient le nom de l’être aimé a l’intérieur de leur bras ou de leur cuisse suivi de l’idéogramme de la vie. Certaines femmes de plaisir utilisent cette type de tatouages pour augmenter leur attrait envers leur clients. Ce type de tatouage signifie l'idée d'un gage d'amour, une promesse de loyauté envers un amant, mais entre elles il seulement était un moyen de fidéliser leur clients. 

Sous l'influence grandissante de la culture Chinoise, en Chine, le tatouage était considéré comme un acte barbare et employé pour marquer les criminels; Au Japon, le tatouage était un pratique infamante et l'employa également pour punir, humilier et marquer a vie les bandits, aussi réservé aux classes plus basses. 

Au 13eme siècle, le tatouage commença a intéressé les maîtres de l'estampe. Il accéda au rang de l'art grâce a un roman intitulé : Au bord de l'eau.  Les héros de cette roman étaient entièrement tatoués. Les artistes du théâtre japonais furent les premiers a recourir au tatouage pour amplifier les détails dramatiques de leur visage. peu a peu, le phénomène se répandit et intéressa les individus dont le métier devait retenir l'attrait du client comme les porteur du palanquins, les taxis de l'époque, ou les hommes dont le métier était dangereux.  Leur tatouages étaient considérés comme un moyen de protection spirituel, ils utilisent des animaux comme les tigres, carpes, dragons; que symbolisent le courage, la puissance et la force masculine. 

Les tatouages punitifs de criminels, créa une nouvelle classe d'exilés. Beaucoup d'eux étaient de Ronins, Saumurais sans maître. n'ayant aucune place a aller et place dans la société, ils organisent des gangs. Ces hommes forment le racines de Yakuzas, gangs de criminels organisées. Ils vont adopter le tatouage comme un symbole de courage, de rébellion et de loyauté envers leur clan.

En 1867,  dans un effort d’intégration et d’ouverture au monde occidentale, l'empereur interdit les tatouages, considérait comme une pratique barbare du passé. De tous faisons ,les tatoueurs japonais continuent a exercer leur travail car les marins occidentaux , faisaient escale au Japon, n'attendait que obtenir un tatouage chez locaux. ce n'était pas qu'en 1948 que la prohibition fut officiellement levée.

en les années 1990, les Yakuza cherchent a supprimer leur tatouage par laser en un effort d’être réintégrer dans la société.  

miércoles, 27 de abril de 2016

L’Amérique (Central, Nord et Sud)

Amérique Centrale et Amérique du Sud
Les tatouages des mayas qui habitaient le Mexique et Guatemala, symbolisaient le  courage. Les femmes se perçaient le cartilage entre les narines et y apposaient un morceau d'ivoire comme un bijou, tant les hommes que  les femmes portaient des boucles d’oreilles et leurs corps étaient totalement couverts de tatouages. Environ 30% de la population était tatouée, plusieurs pensaient à  abandonner leur condition humaine pour se rapprocher des dieux. Les Aztèques avaient de nombreux dieux rattachés leur religion, par conséquent  leurs tatouages avaient de la signification et n'étaient pas seulement une parure du corps. Nombreux tatouages étaient dédiés aux différentes dieux comme Huitzilopochtli, Dieu Soleil et de la Guerre et Quetzatcoat, Dieu de la Végétation et de son Renouveau  qui était fréquemment tatoué.

Au Pérou, un couple des momies tatouées qui appartenaient à la civilisation Chimu, a été découvert par un groupe d’archéologues, ces momies datent du XI siècle. Les momies avaient été marquées avec de différents types d’aiguilles : arêtes de poisson, plume de perroquet, coquillages épineux. Les femmes étaient les principales artistes de tatouages dans la civilisation Chimu.

Au contraire que les Chimu, les Incas croyaient que leurs corps étaient une œuvre parfaite de dieu alors  ils refusèrent le tatouage.




L’Amérique du Nord

Le tatouage était répandu dans tout le monde à travers de la peinture corporelle en replaçant l'habillement, les marques indiquaient l'appartenance à une tribu, rang social, et exploits de guerre. Les Sioux, lors de la danse du soleil, étaient un peuple sédentaire qui habitait les grandes plaines du Dakota du Nord, Du Sud et Canada, ils prouvaient leur courage en se faisant tatouer

Les garçons Cherokees, du nord de la Géorgie et des Carolines, étaient tatoués dès leur enfance. Les chefs Timucuas, une tribu installée en Florida, étaient couverts de tatouages de chevilles jusqu'au cou et au visage. Les Natchez étaient une ethnie établie dans le Mississippi, qui pratiquaient le tatouage dès l'enfance et marquaient leur corps avec de tatouages chaque moment important de leur vie.

Chez les Inuits, une tribu originaire d'Asie, les femmes étaient tatouées pour faire perdurer les traditions: selon leurs croyances, si elles s'en abstenaient, elles ne pouvaient pas trouver la paix après leur mort ; aussi, le tatouage sur leur menton indiquait leur situation de famille.
Les hommes pécheurs et chasseurs méritaient leur tatouage en fonction du nombre de prises, par exemple, chaque point sur le visage représentait une baleine abattue; et plus de points, s’il avait contribué la survie de son peuple. En parlant de boutiques, la première avait été ouverte à New York, par Martin Hildebrandt, un émigré allemand qui était un tatoueur itinérant, c'est à dire, quelqu’un qui tatouait dans les cirques, dans les rues, les ports ou sur les bateaux, il est  aussi devenu le premier tatoueur professionnel d’Amérique.
Après, en 1875, la seconde boutique a été ouverte aussi à New York mais par Samuel O'reilly, qui va révolutionner l'art du tatouage. Il a inventé la machine à tatouer Electrique, une modification alimentée par une pile Electrique de l'invention de Thomas Edison. En 1958, la pratique du tatouage a été interdite car il y a eu une épidémie d’hépatite et le tatouage était une forme de la propager, malgré cette interdiction, le tatouage continua à se pratiquer dans la clandestinité. 37 ans plus tard, en 1998, la maire de la ville leva officiellement cette interdiction.







Chronologie

Chronologie du tatouage

 3 300 avant JC : Ötzi ou l’homme de glace est le plus vieil humain (vivant à cette époque) sur lequel on peut attester la présence de tatouages.


- 2 160 avant JC : L’Égypte antique est considérée comme le berceau du tatouage. Le premier tatouage représenté sur un dessin est celui du Dieu Bès, dessiné sur une cuisse.

- 312 avant JC : L’empereur Romain Constantin le Grand, se convertit au christianisme  et aurait, dans le même temps, interdit les tatouages.  

- 1774 : l’explorateur James Cook a navigué jusqu’en Polynésie où il découvre certains aborigènes couverts de tatouages.

- 1800 : Les marins et les soldats popularisent le tatouage au 19e siècle. Le général britannique Earl Robert réclame que "chaque officier soit tatoué avec les armoiries de son régiment".

-1891 : Le new-yorkais Samuel O’Reilly fait breveter la première machine à tatouer électrique, en modifiant une machine pour stylos inventée par Thomas Edison.  


-1894 : Lady Randolph Churchill, la mère de Winston, aurait eu, d’après les rumeurs, un tatouage représentant un serpent tenant sa queue dans sa bouche autour de l’un de ses poignets.

-1961 : Le département de la santé de New York proscrit les tatouages de peur d’une épidémie d’hépatites B. Une interdiction qui ne sera officiellement levée qu’en 1997.

-1974 : Le tatoueur Don Ed Hardy ouvre RealisticTattoo à San Francisco, le premier salon aux États-Unis proposant des tatouages personnalisés et sur rendez-vous.

-1992 : L’alliance des tatoueurs professionnels est créée pour garantir l’hygiène et la sécurité de ses membres et de la profession. 



martes, 5 de abril de 2016

Egypte et Pays Celtiques

Egypte

Les danseuses, musiciens et prostituées portaient un tatouage sur l´haut de la cuisse, l'effigie du dieu Bes, pour conjurer les mauvais sorts. Bes, symbolise la protection de la sexualité et des naissances, sa magie éloigne les forces du mal, les maladies et les dangers éventuels. Les tatouages n'avaient pas uniquement une fonction esthétique, leur position sur le ventre et leur présence uniquement en femmes laisser supposer un lien entre la fertilité.  

Par exemple, une femme que revenait mère après avoir perdu un enfant, faisait tatouer un point au milieu du front et autre sur la face externe de la cheville gauche de son enfant, ses deux point étaient un barrage contre la mort. Le tatouage devenait une remède contre les maladies, une croix tatoué sur le front était un remède contre le maux de tête. le tatouage figuratif était présente aussi, avec but religieux ou superstitieux. Le poisson symbolisait la fertilité, la chance et la protection. les signes géométriques ont de signification aussi, le point avait un rôle magique et le cercle délimitait la partie maladie a protéger.   

Pays celtiques

les Celtes, Galouis et les Pictes arboraient des tatouages. Ce peuple combattit les romains, les guerriers qui étaient extrêmement tatoués, se battaient nus pensant que leur nudité leur donnerait une immunité magique. La vue de ces tatouages effraya les romains. L'origine de leur nom PICTI provient du nom que leur attribuent les romains, ses tatouages étaient aussi cité par Jules César. 

Les tatouages celtes étaient représente par un grand nombre d'animaux, le sanglier, le chien, le bœuf, le cerf, des forets qui est le lieu sacre du celtes, par des éléments de la nature comme fleurs, feuilles, de créatures mythiques et de figures géométriques comme le cercle et le triskele.   

Tatouages Polynésiens

Selon la région et leur signification

Tatouages Polynésiens


Consiste en l’île marquise et nouvelle Zélande, c´est   ou le
tatouage est plus développé. Il marquait l'appartenance a un rang social élevé, la premier classe, la plus élevé, est nommé jambes tatouées. la pratique du tatouage dans cette culture était pour renforcer la fécondité ainsi que les liens avec le sacre et surnaturel. En Polynésie le baptise est le tatouage! une cérémonie familiale est fait pour être inscrit dans la communauté.



Dans l’île Marquise, les tatouages ont de signification esthétique. Tous les parts du corps son tatoues a exception de mains et de la plante des pieds.Une personne sans le dessus de la main tatoue ne pouvait pas se servir dans la marmite commune, alors que une homme ne pouvait pas demander la main d'une jeune fille s'il n'avait pas été tatoué. Pendant la cérémonie, le peuple chantent pour encourager supporter le douleur et les jeunes nouvellement tatoues ne pouvaient pas montrer ses tatouages jusque la finalisation de la cicatrisation. Un bon tatouage pour le Marquisien est donc une marque de fierté et d'orgueil, car il nécessite de nombreuses séances et de plus est très douloureux. 

D'autre, en Nouvelle Zélande, le tatouage vais de la mains avec le mariage, la jeune fille se doit être belle en se tatouant la visage, pour l'homme le tatouage est un élément de séduction.  Au contraire que les Marquisiens, ils utilisent un objet tranchant, pas une aiguille. Les Maoris portent le MOKO, une marque de noblesse sur la visage, il montre une victoire accompli mais aussi une raison pour être décapité.

Dans la culture polynésienne le tatouage était un langage, un symbole de pouvoir, de force et courage, un trait de gloire et un aspect de rang sociale. les tatoueurs étaient personnes tres importantes dans cette société car ils marquent chaque étape de la vie de ses individus. En 1769, les marins du navigateur Anglais James Cook on fait escale en Tahiti dont ils ont trouvés les corps tahitiens vraiment impressionnantes et a leur retour en Angleterre, ils avaient réintroduit la culture du tatouage  en Europe. 

L'histoire du tatouage

Une bref histoire du tatouage

la pratique de tatouage s'est remonté a la préhistoire avec de vestiges comme peintures rupestres, figurines et poteries, cette pratique est répandue a travers de monde. selon la civilisation, le tatouage a de différentes significations: hiérarchie, signe de reconnaissance, preuve de courage, croyance, procédé thérapeutique, lien avec la fertilité, valeur rituelle, servitude, symbole de protection et d'identification.


Il est connu que la premier marque qui été considérait comme un tatouage, a été  trouvé sur un homme mort  avec plus de 5000 ans dans les Alpes italiennes en 1991 . les marques étaient une espèce de traits parallèles et avaient une fonction thérapeutique. Considéré comme un rite initiative, un signe d’identité ou marque protectrice chez plusieurs cultures comme les celtes, les japonais, les égyptiens.

Avant cette découverte, le premier tatouage se situait en Egypte avec une momie, le corps était entièrement couverte de tatouages avec de motifs décoratifs, sacrés et religieux. il est difficile de préciser le début de cette pratique, mais tous ses places ou il s'est manifesté a contribuer a marginaliser. il servait pour distinguer les esclaves, criminels, classes sociales, etc.

Par exemple: les esclaves étaient marques pour les indiquer comme propriétaires d'autres, le code noir au XVIII siècle utilisait cette pratique. Dans la seconde guerre mondial, il sont les juifs qui son tatoués en force par numéros pour leur identification.










domingo, 28 de febrero de 2016

Introduction au blog

Bienvenus à mon blog!

L’être humain a toujours essayer de laisser des traces  et ceci est  devenu une obsession, tellement que il va faire une marque ancestrale sur ce corps pour être différencié des autres.

L'objectif de ce blog est de montrer l'histoire de tatouages, leur évolution, leur signification culturelles les différents types et techniques utilisés dans le monde et particulièrement  en France. 

Il est  important de connaitre plus sur ce thème car il a toujours a causé des controverses dans la société,  à tel point qu' il est devenu une mode dans le monde occidental , éliminant le stigmate que comprend les tatouages, mais, au même temps perdant le raisons culturelles qu’étaient importantes pour nos aïeux .

en plus, on verrait les différentes réglés du tatouage et pourquoi on devrait les connaitre,pour avoir une connaissance de soins et dangers avant et après d’être tatoue.