lunes, 16 de mayo de 2016

Japon

Japon

L'art du tatouage au Japon porte de différents noms:

L'horimono, est le terme générale concernant les tatouages.
L'irezumi, concerne les tatouages traditionnels qui couvrent un large partie du corps, ces types de tatouages sont ouvres d'art qui coûtent une fortune et qui prennent plusieurs années a être finies.


L'irebuko, était un souvenir pour les amoureux. Les amoureux inscrivaient le nom de l’être aimé a l’intérieur de leur bras ou de leur cuisse suivi de l’idéogramme de la vie. Certaines femmes de plaisir utilisent cette type de tatouages pour augmenter leur attrait envers leur clients. Ce type de tatouage signifie l'idée d'un gage d'amour, une promesse de loyauté envers un amant, mais entre elles il seulement était un moyen de fidéliser leur clients. 

Sous l'influence grandissante de la culture Chinoise, en Chine, le tatouage était considéré comme un acte barbare et employé pour marquer les criminels; Au Japon, le tatouage était un pratique infamante et l'employa également pour punir, humilier et marquer a vie les bandits, aussi réservé aux classes plus basses. 

Au 13eme siècle, le tatouage commença a intéressé les maîtres de l'estampe. Il accéda au rang de l'art grâce a un roman intitulé : Au bord de l'eau.  Les héros de cette roman étaient entièrement tatoués. Les artistes du théâtre japonais furent les premiers a recourir au tatouage pour amplifier les détails dramatiques de leur visage. peu a peu, le phénomène se répandit et intéressa les individus dont le métier devait retenir l'attrait du client comme les porteur du palanquins, les taxis de l'époque, ou les hommes dont le métier était dangereux.  Leur tatouages étaient considérés comme un moyen de protection spirituel, ils utilisent des animaux comme les tigres, carpes, dragons; que symbolisent le courage, la puissance et la force masculine. 

Les tatouages punitifs de criminels, créa une nouvelle classe d'exilés. Beaucoup d'eux étaient de Ronins, Saumurais sans maître. n'ayant aucune place a aller et place dans la société, ils organisent des gangs. Ces hommes forment le racines de Yakuzas, gangs de criminels organisées. Ils vont adopter le tatouage comme un symbole de courage, de rébellion et de loyauté envers leur clan.

En 1867,  dans un effort d’intégration et d’ouverture au monde occidentale, l'empereur interdit les tatouages, considérait comme une pratique barbare du passé. De tous faisons ,les tatoueurs japonais continuent a exercer leur travail car les marins occidentaux , faisaient escale au Japon, n'attendait que obtenir un tatouage chez locaux. ce n'était pas qu'en 1948 que la prohibition fut officiellement levée.

en les années 1990, les Yakuza cherchent a supprimer leur tatouage par laser en un effort d’être réintégrer dans la société.